Histoire du Cajón

Perú Negro
Caitro Soto
Pititi
Cotito

La caractéristique différenciant le plus un modèle d’un autre est le timbre.Le timbre du cajon flamenco est arrichi par la présence des objets métalliques à l’intérieur, ceux-ci s’appuient ou effleurent la partie supérieure.Les timbres de tambours, les cordes de guitare, les clochettes et objets similaires servent à cette fin.

Autrement, en Péru et Cuba, on ne les utilise pas, ce qui rend le son plus claire, semblable à celui du bongo. Par contre, en ajoutant un timbre, on obtient un son semblable à celui d’une caisse de batterie.

Le cajon cubain a une histoire particulière : il doit beaucoup à l’apport de Pancho Quinto,soit du point de vue musical,que artisanal ; dès 1950, il commença à construir les cajones de forme rectangulaire, en genèral plus larges de ceux du Péru,et aussi à pyramide coupé ; ceux-ci on les jouait entre les jambes, comme les congas.

Ceux cajons de différentes formes se présentent en géneral ensemble, en assument des roles difféerents, et aussi en interaction avec les congas.Du point de vue musical Pancho Quinto est consideré un des créateurs du style Guarapachangueo, avec Irian Lopez et Los Chinitos, et le group Ossain del Monte.

Pancho Quinto avel le group Yoruba Andabo.

Récemment, un des plus grands représentants de la tradition percussionistique de Cuba, Miguel « Angà » Dìaz, s’est distingué par l’ emploie constante du cajon, surtout en collaboration avec le pianiste Omar Sosa.

Miguel “Angá” Díaz.
Rubem Dantas
Manuel Soler
Ramón Porrina
Pancho Quinto
Miguel “Angá” Díaz